Retour matériel / Test : Notre vélo de voyage Ridgeback Panorama


Ecrit par Emeline

 

Article test écrit pour le blog de nos copains cyclos  : Un monde à vélo


 

Depuis longtemps nous avions en tête de faire un grand voyage à vélo pour découvrir ce qui nous entoure. Plus exactement, nous voulions aller en Nouvelle-Zélande à vélo et revenir en France par l’autre côté. Et en chemin essayer de capter le plus de nature et de montagnes car nous sommes plutôt friands de grands espaces et de petits chemins.

 

Avant de partir nous n’étions pas des cyclistes mais plutôt des voyageurs qui voulaient se mettre au rythme d’un deux roues. Nous avons d’abord pris les vélos que nous avions dans notre garage pour aller se balader le temps d’un week-end et puis un peu plus… jusqu’à nous décider à vraiment partir, loin et longtemps.

 

Il est dur de choisir un vélo, car il existe autant de vélos de voyage que de voyages, que de voyageurs même. Avec nos quelques connaissances de vélo le temps de nos petites balades, nous avons commencé à établir un cahier des charges de notre côté puis nous avons été aidé par les forums, blogs et notre vélociste (Toulouse Bikes, à … Toulouse !). Nous recherchions quelque chose de polyvalent pour tous types de revêtements (asphalte, chemins, pistes..) et tous types de sortie (grande randonnée, balade, « vélo taf », ville, course un peu plus sportive…), mais surtout résistant !

 

Nous voulions investir sur un vélo pour notre grand voyage mais également qui puisse nous servir à notre retour pour du « vélo taf », des cols de montagnes, des micros aventures en bagages léger ou pas ou à vide…

 

Par rapport à notre cahier des charges, une marque peu connue mais qui était disponible dans notre magasin de vélo nous a rapidement fait de l’œil : La marque Ridgeback avec le modèle Panorama. Avant notre décision finale, j’ai eu la chance de pouvoir tester sur une semaine ce vélo en « conditions réelles » de ce que nous voulions : 4 jours de vélo avec sacoches dans les Corbières puis 1 semaine de « vélo taff ». Cela a suffi par nous convaincre.

La marque Ridgeback

Ridgeback est une marque de vélo britannique, dont la création remonte à 1983. Elle est notamment connue pour avoir été à l’origine du premier VTT britannique. Aujourd’hui, même si Ridgeback propose toujours des vélos tout terrain, elle a surtout développé les vélos de ville et de randonnée.

 

Pour la petite histoire, Ridgeback a introduit le modèle Genesis (Day One), le premier vélo route équipé d’un cintre plat. Les vélos Genesis sont devenus si populaires que le modèle est devenu une marque à part entière – Genesis – qui est sortie du giron Ridgeback en 2006. 

Les vélos de voyage Ridgeback

 

 

La marque Ridgeback propose 3 gammes de vélos de voyage : l’Expédition, le Voyage et le Panorama.

 

Nous sommes partis sur le modèle haut de gamme, à savoir le Panorama (modèle 2017) mais en faisant certains changements dès sa sortie du magasin. Nous avons pu avoir une reprise sur tout le matériel changé.

Description du vélo

Ce vélo est un vélo… polyvalent ! Il est catégorisé comme un vélo de voyage et est équipé comme tel avec des œillets pour des portes bagages avant et arrière et des portes bouteilles (ou autres) au niveau du cadre mais sa géométrie lui permet d’être aussi hyper joueur « à vide » et passe donc facilement sur un mode gravel sur chemins ou en ville sur asphalte.

 

Il est prêt à l’usage pour du voyage à vélo car vendu avec tout l’équipement (porte bagages arrière, 3 portes bouteille et gardes boue.)

 

Ses composants

Afin de coller au mieux à nos attentes et à notre projet de voyage au long court, nous avons voulu faire quelques petits changements au moment de l’achat par rapport au modèle de base afin de gagner encore plus de polyvalence et surtout de robustesse :

 

      Cadre acier Reynold 725, fourche acier Cromoly

      Roues 700 (28’’) Ryde ZAC 2000, 36 rayons, moyeux Shimano Deore

      Pneus Schwalbe marathon mondial 700x40 (6000km), puis marathon plus Tour 700x40 (18.000 km puis 10.000 km en cours)

      3x9 vitesses :

      Transmission avant : Pédalier + triple plateau Shimano Deore (22/32/42 changé au bout de 15.000km pour une usure normale pour du 22/32/44)

      Transmission arrière : Cassette 9v 12/36 Deore, dérailleur Shimano XT,

      Freins à disques mécaniques Avid BB7

      Porte-bagages avant et arrière en acier Tubus

      Cintre de route avec poignets combinées Sora

      Doubles leviers de freins (su centre du guidon)

      Selle SMP fendue Gel Trekking

 

      Pédales automatiques mixtes Shimano

Conditions du test du vélo

 

Nous avons acheté ces vélos pour faire un grand voyage autour du monde. Avant le grand départ nous avons roulé en « test grandeur nature » 3 semaines en Islande à 90% sur des pistes.

 

Lors de notre tour du monde, nous privilégions les petites routes qui sont souvent en mauvaise qualité voir des pistes. Dans certains pays comme le Tadjikistan ou le Laos, nous n’avions pas le choix c’était de la piste. Nous avons testé aussi des routes enneigées et verglacées sur le plateau tibétain, et sablonneuses en Australie.

De retour prématuré en France avec la Covid, nous avons choisi de remonter en selle en France et notamment de traverser les Pyrénées par la fameuse route des cols, donc routes goudronnées et … cols !

 

À ce jour nos 2 roues doivent avoir 40.000km dans les rayons.

 

Test des vélos Ridgeback Panorama

Premières impressions sur le vélo

 

Avant la réception de nos vélos, j’avais un peu « triché » puisque j’avais pu le tester une semaine en randonnée puis « vélo taf », c’était pour moi la première fois que je roulais avec un cintre de route, j’avais peur d’être déséquilibrée, instable… mais pas du tout, à peine mes mains posées sur les cocottes je me suis sentie à l’aise.

 

Dès réception des vélos nous avons passé le week-end à rouler pour les tester et surtout les régler. Si je me suis sentie de nouveau à l’aise avec ce vélo sur les 1ères km, j’ai mis un peu de temps à trouver un bon réglage (hauteur et avancement de la selle, taille de la potence…), même si notre magasin de vélo avait déjà passé du temps à les régler à la livraison. Ce temps de réglages est vraiment propre à chacun puisque qu’Olivier a dû régler son vélo en 5 min montre en main. Quant à moi je suis très sensible à la position.

 

Ce vélo est agréable à rouler, nous y avons passé 40.000 km, et je repartirais sans souci demain pour plus.

 

Et… oui je le trouve beau, c’est dit ! Noir brillant avec quelques paillettes (si si !). Le noir permet de passer partout et va avec toutes les couleurs de sacoches et de guidoline, je m’amuse donc à chaque fois à changer de couleur avec une nouvelle guidoline.

 

Le cadre du Ridgeback Panorama

 

Le cadre est en acier. Il est relativement souple et permet d’encaisser correctement les chocs lorsque nous roulions sur des pistes bien accidentées.

 

À part quelques petites égratignures, le cadre a tenu incroyablement bien. Et ce n’est pas faute d’avoir un pilote du groupe qui a plutôt une devise « ça passe ou ça casse ». Chute, cailloux, tôles ondulées, très chaud, très froid… (Des nuits à -20° aux journées à +50°), et plus de 2 ans et demi de nuits dehors. Nous pouvons le dire ce cadre nous semble incassable !

 

Ce cadre possède les classiques des œillets des voyages à vélo :

  • À l’arrière : œillets au niveau de la tige de selle + au niveau de la cassette (2 choix de hauteur pour différents réglages… ou joker si on casse une vis dans un des œillets ! – on parle en connaissance de cause-)
  • À l’avant : 2 paires d’œillets sur la fourche
  • Au niveau central du cadre : 2 paires à l’intérieur et 1 paire en dessous.

 


La position

 

Une fois les longs réglages effectués pour ma part, je suis sur mon vélo comme à la maison. Aussi bien sur de la route que sur de la piste. La position est un peu plus sportive que sur un vélo de randonnée classique, ceci dû à un reach un peu plus long. Mais on peut toujours changer la potence pour une plus courte (ce que j’ai fait pour ma part). 

La transmission

 

Nous n’étions pas de grands cyclistes avant de partir, nous avons pris le parti d’un développement où nous aurions à moins forcer et à plutôt mouliner.

 

Nous sommes partis avec 9 vitesses étalées comme suit : 22/32/42 – 12/36. (Pour rappel nous sommes en 28 pouces). Nous ne regrettons absolument pas le petit plateau, avec le poids, les pistes, l’altitude, nous sommes passés partout en selle.

 

Au bout de 15.000 km nous avons changé nos transmissions / plateaux / cassette / boitier de pédalier (usure normale) et nous avons augmenté le grand plateau pour passer sur du 44 dents (vs 42).

 

Cette 2ème transmission a aussi été changée pour usure normale, nous sommes restés sur le même développement avec quelques hésitations. Nous avons gagné en force et jambes en cours de route et il nous semblait manquer parfois de dents sur le grand plateau sur du plat ou descente… Après nous étions en voyage et donc sans recherche de performance alors nous profitions du paysage !

 

Pour les chaines, nous les changions environ tous les 5000 à 7000 km, en fonction de ce que nous trouvions sur place (aucune difficulté à trouver des 9 vitesses mais nous essayions d’anticiper un peu.)

 

Pas de problématique technique majeure sur la transmission. Le changement des pièces, câbles et gaines se fait sans trop de difficultés si on bricole un peu. Le réglage des vitesses est également assez facile une fois que l’on a compris la logique et ce grâce à des petites molettes placées sur les câbles.

 


Les roues et les pneus

 

Vaste sujet que celui des pneus !

 

Nous avons fait notre « test grandeur nature » en Islande avec les pneus d’origine des Schwalbe Marathon 700x35. Ils ont donc fait… l’Islande, 1000km et c’est tout. Nous les avons sacrément usés en seulement 3 semaines. Bon il faut dire que nous n’avons pas été tendres avec eux, tout comme les pistes islandaises assez abrasives (laves dures). On peut donc presque les excuser mais en tout cas ces pneus ne conviennent pas à de la piste.

 

Nous sommes ensuite partis de France avec des Schwalbe marathon mondial 700x40 en tringle souple. Nous avons dû les changer au bout de 6.000 km car un de nos pneus avait une petite déchirure suite à une crevaison. Nous aurions pu les conserver encore un peu mais nous partions pour le Tadjikistan et ne nous sentions pas en confiance avec sur ces pistes. (8 crevaisons au total sur nos 4 roues pour 6.000km, la majorité sur les derniers 500km, usure oblige)

 

3ème paire de pneus : Schwalbe marathon plus tour 700/40 (tringle rigide cette fois). Gros coup de cœur pour cette version. Ils ont fait toutes les pistes d’Asie centrale, d’Asie du Sud Est, de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie. Nous les avons changés avant de nous envoler pour l’Amérique du Sud en précaution de ne pas en trouver sur place. 18.000 km et …4 crevaisons pour nos 4 roues.

 

4ème paire de pneus : toujours Schwalbe marathon plus tour 700/40, acheté donc 18 mois après notre 1ère paire de « Plus Tour ». Nous les avons usés prématurément comparé à notre précédente paire. Nous avions à peu de choses près le même chargement voir légèrement moins. Les pistes étaient peut-être un peu plus abrasives mais ce qui n’explique pas cette différence d’usure. Nous avons contacté Schwalbe qui a nous rapidement proposé de nous renvoyer des nouveaux pneus (nous avons repris des mondial en tringle souple pour pouvoir se les faire envoyer en Amérique du Sud), peut être un souci sur la série.

 

Point de vigilance : nous avons souvent tendance à sous gonfler les pneus, cela a aussi surement dû abimer un peu ces derniers.

 

Concernant les roues, jantes et rayons :

 

Nous avons dû changer les moyeux arrières au bout de 25.000 km mais pas illogique selon les magasins de vélo en voyant les pistes utilisées et le chargement de nos vélos. Ils roulaient encore,  mais commençaient à montrer quelques signes de faiblesse (bruits en roulant)

 

Autre souci : au bout de  32.000 km la roue arrière d’Olivier a commencé a légèrement se fissurer au niveau des œillets des rayons. C’est la roue arrière qui porte le plus de poids (bagages + pilote). Ne pouvant pas la changer dans l’immédiat (nous étions en Amérique du Sud) nous avons interverti les roues de nos 2 vélos et c’est moi qui ai roulé avec. J’ai roulé encore 2.000 km avec sans observer de détérioration de la fissure. Nous avons changé la roue en rentrant en France. Usure plutôt normale selon notre magasin.

 

Aucun rayon cassé en 40.000km (nous avons toujours ceux de rechange accroché au porte bagage arrières !).

 

Les freins

Nous avons des freins à disque mécaniques Avid BB7, et nous en sommes très contents. Le réglage est hyper simple : de chaque côté des plaquettes, il y a 2 petites molettes qui suffit de serrer ou desserrer.

Pareil pour les changer : on enlève la roue, on enlève les plaquettes et on remet des neuves !

 

3 paires de plaquettes arrière et 2 paires de plaquettes avant en 40.000 km, par vélo. Nous avons testé des plaquettes de marques et de sous marques. Clairement les marques sont plus chères mais beaucoup plus résistantes, alors que les sous marques, moins chères mais… il faut les changer plus souvent. Les 2 se valent donc au final niveau prix !

 

Nous n’avons pas eu de souci à en trouver, à condition d’anticiper et d’en avoir toujours une d’avance.

 


La selle

 

Avant d’acheter ces vélos, nous avions déjà investi dans des selles qui nous donnaient satisfaction. Nous les avons donc conservées et échangées avec celle d’origine des vélos.

Nous avons des selles SMP trek gel fendues. Nous roulons confortablement avec sans cuissards. Bon je ne vous cache pas qu’après 8h d’asphalte sans bouger, nous avons parfois mal au c***, mais je vous mets au défi de rester dans le meilleur des canapés sans bouger pendant toute une journée, vous auriez peut être quelques douleurs !

 

Les selles ont plus de 40.000km et nous allons probablement devoir les changer, quelques crevasses et une morsure de renard dans celle d’Olivier. Il faut dire qu’elles dormaient dehors avec les vélos sans trop de protection, donc pluie, gel, soleil, n’ont peut-être pas fait bon ménage. Mais nous repartirons sur ce même modèle.

 

le cintre

 

Nous avons gardé le cintre d’origine. Il s’agit d’un « cintre de route » et donc multi positions ce qui est pratique pour éviter d’avoir mal aux mains. (Nous roulons sans gants de vélo). Position très confortable et même en descente sur des terrains accidentés nous étions à l’aise.

 

Nous avons également gardé les doubles leviers de freins au guidon qui est assez pratique quand nous roulions les mains au milieu du guidon.

 

Les portes bagages

 

Avant l’achat de nos vélos, nous avions déjà investi dans des portes bagages arrière que nous avons donc conservés, ce sont des Tubus logo. Nous avons rajouté également des porte bagages avant Tara. Ces 2 portes bagages sont en acier.

 

Pendant tout le voyage les portes bagages ont tenu le choc, et ce n’est pas faute de les avoir secoué avec plus ou moins de délicatesse ! Aucune fissure.

 

Nous avons remarqué que la peinture partait avec le frottement des sacoches, nous avons donc mis des petits morceaux de stock noir (type scotch d’électricien).

 

Nous avons au cours du voyage changé la configuration de notre bagagerie. A mi-chemin nous avons échangé les portes bagages avant par des supports de fourche blackburn en aluminium. Grosses déception en Australie après seulement 10.000 km. Il faut préciser que nous avions chargé jusqu’à la charge maximale ces supports en Australie et avons beaucoup roulé sur des pistes avec de la « tôle ondulée », bref 2 supports cassés et des fissures sont apparues sur les deux autres. Nous avons trouvé un soudeur en Australie, soudure qui n’a pas tenu très longtemps. En Argentine nous avons changé ces supports et fait fabriquer sur ce même modèle un nouveau support en acier cette fois-ci, et à ce jour, pas de problème. Nous avons perdu en poids mais gagné en sérénité.

 

Autant fixer des sacoches sur le porte bagage est un jeu d’enfants, autant sur les supports de fourche c’est plus long, sans pour autant être insupportable. Par contre où l’on peut facilement ouvrir une sacoche fixée sur des portes bagages, on oublie pour les supports de fourche, avis aux étourdis !

 

Les accessoires

Le système d'éclairage :

 

À l’origine le vélo n’en a pas et nous avons fait le choix de ne pas l’équiper. On évite de rouler de nuit. Les quelques fois où nous n’avons pas eu le choix, nous avions nos lampes frontales et des petites lampes arrières clignotantes.

La béquille :

 

Pas de béquille également sur le vélo. Nous n’avions pas voulu en rajouter. Nous étions déjà parti avec des sacoches et des béquilles… sacoches 1 / Béquilles 0.

 

Cela ne nous a pas manqué, nous trouvions toujours un endroit pour poser les vélos, l’un contre l’autre voir même par terre.

 


Les gardes boues :

 

Nous avions enlevé les gardes boues, qui comme leur nom l’indique … gardent la boue !! Nous avions bricolé et fixé un bout de garde boue en dessous du porte bagage arrière qui nous protégeait des projections de pluie.

Les pédales :

 

Nous avons également changé les pédales pour des pédales mixtes : un côté « normal » et un autre « automatique ». Même si à notre sens cela n’est pas indispensable, nous y avons trouvé un vrai confort : dans les montées pour bien « appuyer », sur les pistes accidentées où nous gardions le pied sur la pédale et donc moins de chutes.


Le bilan

 

Nous voulions un vélo polyvalent, nous n’avons pas été déçu, il l’est. Nous avons été aussi bien à l’aise chargés sur les pistes que dans la route des cols dans les Pyrénées, ou encore le dimanche matin à vide dans les chemins ou pour aller acheter le pain.

 

Mais qui dit polyvalence dit parfait nulle part : il n’a pas la souplesse d’un VTT, donc si vous cherchez un vélo pour aller faire uniquement de la piste bien technique, ce n’est peut-être pas le meilleur choix. De même si vous voulez faire la traversée des Pyrénées (par les cols bien sûr !) en mode performance sportive, sans bagages, il sera forcément un peu lourd et moins roulant. En revanche, il conviendra pour celles et ceux qui ont envie de faire un peu de tout comme nous l’avons fait.

 

Nous avons également été étonnés par sa robustesse (en comparaison avec de nombreux voyageurs à vélo rencontrés en route, à poids, km et types de parcours équivalents). Aucun souci de casse, problème … les seuls changements ont été de l’usure normale.

 

Les points forts

  • Polyvalence
  • Robustesse

 

Les points faibles

 

Nous avons plus de mal à faire la liste tant ils nous ont porté dans nos aventures sans nous faire défaut… mais allons-y, cherchons quand même quelques défauts :

  • Taille max de pneus 42 ou 45 selon les modèles de pneus… au-delà, ça ne passe pas,
  • Le prix ?? Evidemment ce n’est pas un premier prix, donc certains pourront juger ça comme un handicap (Le Panorama 2021 est à 1.700€ sur le site anglais)

 

 

 

Vous pouvez également retrouver cet article ici 


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Commentaires: 1
  • #1

    Meunier Jean (dimanche, 11 avril 2021 17:32)

    Bonjour à vous,
    Cyclo campeur ( et bivouaqueur!) depuis 6 ans maintenant , mes débuts se sont effectués avec un vtt intersport .... dur , dur ! Et puis une petite rentrée d'argent,l'aide de la famille ,amis,j'ai pu me choisir une nouvelle monture.... Le choix est vaste,mais la lecture de votre blog m'a convaincu sur le choix de celle-ci.Je suis donc depuis trois ans, l'heureux propriétaire d'un Ridgeback Panorama. Je suis loin , très loin de votre kilométrage, mais le Morvan , le Berry , et autre endroits,m'ont convaincu de mon bon choix.Ce vélo est fantastique,confortable,il passe absolument partout, il sert à tout et il est bien partout mème chargé comme un mulet et avec mes 72 ans et quelques problèmes d' arthrose, ce n'est que du bonheur . Et puis il a en plus une énorme qualité , et je comprends Emeline ......Il est beau . Grace à lui , je découvre aussi le bonheur de voir les passants s' arrêter pour le regarder, pour en parler......C'est ma Ferrari à moi .....Je me la " pète " un peu !
    Merci à vous pour le bonheur et la découverte .
    Belle route à vous .